Le mercredi 29 décembre 2021, des membres de l’Académie luxembourgeoise ont, avec la Députée Nathalie HEYART, le directeur de la Maison de la Culture Luc DELHAYE et une centaine de participants de toute la province, participé à la Manifestation pour la Culture à Arlon suite aux mesures du CODECO. On traverse une crise sanitaire, mais aussi une crise de l’esprit, a déclaré Guy DENIS.
C.A. à Arlon le samedi 29 janvier et le samedi 12 février. Les rapports sur la page « Pour les membres ».
Réunion du Groupe de travail « Sculpture » le samedi 12 février à 9.30h.
Prochaine A.G. à Arlon le samedi 12 mars 2021.
Les rapports des C.A. du 6 novembre et du 16 décembre se trouvent dans la rubrique « Pour les membres »
ACTIVITÉS DE NOS MEMBRES
Exposition d’oeuvres de Marie HOWET au Centre culturel de Libramont du 24 février au 24 mars 2022, à l’occasion des 125 ans de sa naissance et des 100 ans de l’obtention de son Prix de Rome.
Paul MATHIEU présente son recueil « À bord » (1) au Centre Culturel à Athus, 17 rue du Centre, le vendredi 18 février à 20.15h (Reporté pour cause Covid) et (2) au Bar à Lire à Jamoigne le 24 février à 20h.
Nouveau roman d’Armel JOB : Un père à soi (éd. Robert Laffont).
Dans le cadre des conférences de l’Académie Thérésienne, Armel JOB donnera le 14 mars 2022 à Arlon au Palais provincial, de 18.30h à 20.30h, la conférence « Comment peut-on être bon? »
Sur TVLux, dans l’émission Arrêt Culture du 21 janvier 2022 : présention de Pierre CHARIOT et de Guy DENIS. Sur le site de la province de Luxembourg, dans l’émission Canapé Livres du 1 février, présentation de la troisième édition du Dictionnaire des belgicismes de Michel FRANCARD.
Le travail et les instruments créés par Gauthier LOUPPE seront exposés du 18 au 20 février au Cercle Royal Gaulois à Bruxelles, à l’occasion du festival de musique ancienne FestiVita.
Sur son site « La Gaume? Un monde » Jean-Luc GEOFFROY présente deux recueils de poèmes en patois gaumais écrits par ALBERT YANDE : « Les paumes su les èteûles » et « Pa d’t’avau les autes côeps« . Vous pouvez tourner les pages et entendre les textes lus par l’auteur. Celui-ci, de même que Joseph CALOZET qui a écrit la préface, était membre de l’Académie luxembourgeoise. http://frego-et-folio.be/Gaume/Livres%20sonores.html…
Benoît MERNIER joue sa pièce « Pange Lingua » en dialogue avec l’Hymne de Nicolas de Grigny. Enregistrement à l’orgue du Sablon à Bruxelles, dans le cadre des Europeans Cities of Historical Organs (ECHO). https://www.youtube.com/watch?v=CA0TvPLvqjI
Il tiendra une Master Class et donnera des concerts à Alkmaar en juin 2022, dans le cadre de l’Orgel Festival Holland et de son concours.
Il est interviewé par Axelle Thiry dans le cadre de l’émission « À portée de mots » sur Musiq3, le 6/2 et le 13/2 à 20h, et sur podcast.
Annemarie TREKKER organise de janvier à avril 2022 une nouvelle table d’écriture « Correspondance, donner du sens à sa vie » à travers une écriture individuelle à domicile et des échanges. Information amtrekker@hotmail.com
Des poèmes Paul MATHIEU sont présentés dans le Journal des Poètes de décembre 2021, ainsi que divers textes dans l’Almanach des Ardennes 2022.
Article de Claude RAUCY, « Pierre Nothomb le rassembleur » (partie 1) dans la revue L’Égrégore, nouvelle revue littéraire et patrimoniale, Cahiers de la Fondation Pierre Nothomb, dont le premier numéro (décembre 2021) est un Dossier d’hommage à Pierre Nothomb. L’article de C. RAUCY a été précédemment publié en 1996 dans la Revue Générale.
ON NOUS INFORME
La revue Traversée organise un Marché de la Poésie à Virton le 19 mars 2022. Invitation à tous! Informations sur traversees.hotmail.com
Francis Chenot, poète et co-fondateur de la Maison de la poésie d’Amay vient de nous quitter ce lundi 13 juillet 2020. Il a créé les éditions de l’Arbre à Paroles, et fut (avec Francis Tessa et Rio Di Maria) l’un des principaux responsables de la revue L’Arbre à paroles durant de nombreuses années. Il fut également co-fondateur de la Maison de la poésie d’Amay, rédacteur en chef du bimestriel « Une autre chanson » et chroniqueur au « Drapeau rouge« .
Francis Chenot est né le 6 mars 1942 à Petitvoir. De l’Ardenne, il a gardé les silences têtus et l’économie de mots qui caractérisent son écriture. il a publié une vingtaine de recueils. Deux titres importants: « Mémoire de schiste » (en 1981 à l’Ardoisière – et prix René Lyr 1982 – réédité en 1990 à l’Arbre à paroles) et « Le principe de solitude » en 1997 à l’Orange bleue. Des recueils qui, avec leur distance vis-à-vis de la mondanité littéraire, lui vaudront le prix Arthur Praillet 1997. Fin 2003, paraissent les « Carnets d’écorce« , selon lui son livre le plus abouti qui le consacre comme un poète échappant aux catégorisations faciles. En 2006, « Bûcheronner le silence » paraît en coédition à l’Arbre à paroles et aux Écrits des forges, ce recueil marque une continuité évidente entre pays de forêts et de neige dont il est question dans cette médiation habitée par bien autre chose que le seul silence. Et enfin en 2009, « Petits matins » dans la collection Buisson ardent de l’Arbre à paroles.
Les membres du Conseil d’Administration se sont contactés à distance. Une première réunion en présentiel a eu lieu dans nos locaux le samedi 6 juin à 16h. Une seconde AG a eu lieu le samedi 4 juillet. Les rapports se trouvent dans la rubrique « Pour nos membres »
Réunion de la commission « Musées de la province de Luxembourg » mercredi 26 août à Arlon en préparation de l’exposition à la MCA en mai 2021. Les mesures sanitaires seront respectées.
Prochaine AG le SAMEDI 10 OCTOBRE à 10h à Vielsalm.
Présentation des récents ouvrages de Paul MathieuLes noces de l’écureuil (nouvelles) et D’abord un peu de jour (poèmes) ainsi que des Cahiers de l’Académie n°31, le jeudi 24 septembre dans nos locaux à Arlon.
Promenade artistique à Bruxelles le samedi 24 octobre.
Participation aux Rencontres culturelles au Palais à Arlon du 27 au 29 novembre, entre autres une Table ronde sur la littérature française de Belgique et des Regards croisés sur la place du langage dialectal.
Inauguration officielle de nos locaux le vendredi 4 décembre à 18h.
Exposition « Nos musées s’exposent » à la Maison de la Culture d’Arlon, du 14 mai au 6 juin 2021.
Journée La Misbour en forêt d’Anlier le samedi 29 mai 2021.
ACTIVITÉS DE NOS MEMBRES
PHILIPPE GREISCH
présentera Marcel CLÉBANT, qui fut membre de l’Académie Luxembourgeoise, le samedi 29 août au Palais à 14h, dans le cadre des Rencontres Écologiques d’Été. Le titre de la conférence sera « Marcel Clébant, un arlonais pionnier de l’écologie »
ANNEMARIE TREKKER
a publié « Vivre le confinement« , témoignage d’une vingtaine d’autrices et d’auteurs, chez L’Harmattan, dans la collection Traces de vie.
JEAN-CLAUDE SERVAIS
La petite reine sera rééditée en noir et blanc le 21 août 2020.
La Fondation Pierre Nothomb lance un appel à textes pour le prix Pierre Nothomb 2020. Les soumissions sont attendues pour le 28 août 2020 à 12h.
Organisé par la Fondation Pierre Nothomb, en partenariat avec l’Académie luxembourgeoise et la Province de Luxembourg, le prix Pierre Nothomb récompense chaque année un auteur francophone pour un texte inédit répondant au thème de l’année. Pour l’édition 2020, il s’agira de présenter un sonnet sur le thème « cosmos ».
Les candidats enverront leur sonnet pour le 28 août 2020 à 12h au plus tard à l’adresse : prixnothomb2020@gmail.com La somme de 300 € récompensera l’auteur du texte lauréat ; un deuxième et troisième prix, respectivement de 200 € et 100 €, sont également prévus.
Le Centre d’interprétation d’Art et la Fondation Chaidron-Guisset à Vresse-sur-Semois proposent jusqu’au 15 novembre une exposition exceptionnelle d’une centaine d’oeuvres du peintre Albert Raty pour célébrer le cinquantenaire du décès de l’artiste.
PIERRE NOTHOMB
Le récit « La maison du vieil homme est comme un poème » vient de paraître chez L’Harmattan, dans la collection Encres de vie, dirigée par Annemarie TREKKER.
Article dans L’Avenir du Luxembourg du lundi 6 juillet 2020.
Article dans La Libre Belgique et dans la revue de l’AREAW
Les feuilles se souviennent-elles du vent qui les caressa ? GD
Les feuilles se souviennent-elles du vent qui les caressa ? (GD)
C’est le vent qui a
tracé leurs rainures duveté leurs feuilles et denté leurs limbes
coulé tout ce vert qui danse dans le soleil
(MG)
ON NOUS INFORME…
En octobre prochain une exposition collective aura lieu dans les installations du WEX à Marche-en-Famenne. Informations complètes concernant cette exposition sur le site internet http://www.lagrandegalerie.be. L’organisation est mise sur pied à prix coûtant et donne des pistes pour financer l’espace d’exposition de chacun. Un collectif d’artistes peut aussi être envisagé. Inscriptions avant le 18 juin. Responsable à votre disposition : F. Lurquin.
…
DÉCÈS DE NOTRE CONFRÈRE ANDRÉ MATTHYS
André Matthys
André MATTHYS est décédé le mardi 5 mai 2020. Archéologue médiéviste reconnu il a, durant de nombreuses années, dirigé en tant qu’Inspecteur général le service du Patrimoine de la Région wallonne. Il a également été un pilier de la rénovation du château d’Herbeumont.
Nos pensées émues vont à sa famille. Une cérémonie d’hommage aura lieu à la ferme de la Ramée dans le Brabant wallon dans les mois qui viennent. Ce sera là pour l’Académie l’occasion de témoigner à la famille les sympathies et les condoléances des confrères et consœurs.
« Je travaille beaucoup, pour l’école et pour moi-même. En fait mon travail est d’office le confinement, donc j’aime ça. Je termine un violon, je vous enverrai des photos plus tard.
Je souhaite partager avec les membres de notre Académie un petit montage vidéo qui présente mon quatuor d’instruments nommé « Phénix », avec toute la symbolique qui s’y trouve. Le concert a été donné au Cercle Gaulois Littéraire et Artistique à Bruxelles. C’est le compositeur Robert JANSSENS de Bruxelles qui a écrit « Les 7 péchés capitaux » pour mes instruments. A ce jour, 6 compositeurs ont composés des œuvres pour mes instruments : un Liégeois, deux Bruxellois, un Flamand, un Italien et un Américain.
Avec mes meilleures pensées pour tous et surtout pour chacun »
CONSTANTIN CHARIOT
Avec Chroniques d’un Printemps Confiné, l’équipe de la galerie La Patinoire royale vous propose de lire, de partager quelques réflexions de ses artistes, actuellement dans un monde de l’art à l’arrêt, source d’inquiétude et de questionnement. «Le doute et la peur sont les auxiliaires des grandes initiatives» (Amélie Nothomb)
JEANNE SUSPLUGAS Comment vis-tu cette période inédite ? Mon quotidien n’est pas si différent car je vis une partie du temps confinée chez moi. Mais là, j’ai découvert que j’avais des voisins juste en face (rires). Penses-tu que cette période a un impact sur ton travail? Dans la mesure où je me place en témoin de ce qui m’entoure, cette situation a déjà un impact sur mon travail. Depuis le début du confinement, je revisite mon travail qui tourne notamment autour des questions de la maison, de l’enfermement. Je réfléchis beaucoup à l’interprétation que prennent des pièces comme «There’s no place like home» ou « Peeping Tom’s House». Dans la première je soulève le caractère aliénant de la maison – une jeune femme répète inlassablement «there’s no place like home». Qui cherche t-elle à convaincre ? Elle-même ou ceux et celles dont c’est la «contre vérité» ? Car être chez soi ne signifie pas automatiquement être bien en soi. La maison peut devenir malveillante et se changer en lieu d’enfermement, d’étouffement, de mal être, de violence – les violences faites aux femmes sont dramatiquement en hausse depuis le début du confinement. Quant à la seconde, elle évoque le voyeurisme à l’intérieur de la maison qui tout à coup devient celui des dits voisins. Un monde à la limite du basculement délétère pour le non respect des règles sanitaires – les commissariats font face à une explosion d’appels ces dernières semaines. Alors qu’il y a si peu d’appels pour signaler les violences intrafamiliales – pendant et hors confinement. Quel rôle peut/doit jouer selon toi l’art en ce moment ? Peut-être que certaines personnes prendront conscience de la nécessité de l’art. Pourrait-on appréhender une telle situation d’enfermement, même relatif, sans livres, films ou images ? Toi et moi savons que la vie est impossible sans artistes, pourtant je doute souvent de ma place dans cette société. Une des choses qui m’aide c’est quand quelqu’un me dit «Merci d’exister car c’est grâce à vous les artistes que je tiens, que je survis». Alors j’ai l’impression de contribuer à rendre le monde un peu plus «supportable» voire, soyons folle, un peu meilleur. Sans ces retours, cette place ne serait pas tenable.
https://vimeo.com/105050323 Jeanne Susplugas, There’s no place like home, 2012, 16:9, Loop – Copyright : Jeanne Susplugas
Quel impact peut avoir selon toi un tel séisme sur le monde de l’art en France et dans le monde ? Les répercussions sur le monde de l’art vont être très importantes. Mais, nous, les artistes, avons l’habitude de la précarité, des basculements, des adaptations nécessaires. Cette crise sanitaire permettra peut-être de contrer une forme de cynisme, de mépris voire de folie comparables à n’importe quel système spéculatif. Elle pourrait ainsi aider à ce que les collectionneur.se.s achètent avec leurs yeux et leur cœur et non avec leurs oreilles, pour revenir à l’art. Pensez-vous qu’en matière de conscience écologique cette crise soit une alerte et entraîne des changements durables dans nos habitudes et comportements vis-à-vis de l’art ? Personne ne peut savoir s’il y aura des changements mais je m’autorise parfois à en rêver… malheureusement l’histoire nous a montré qu’une fois la tempête passée la vie reprend son cours «normal». Hors c’est bien de normalité dont il est question. Personnellement, je n’ai pas envie qu’il revienne à la normale mais qu’il y ait un changement profond de notre manière de vivre, de nos valeurs. Mais je ne suis pas très optimiste. Je pense qu’il y aura, au mieux, des changements individuels. La question de l’écologie se pose très clairement pour le monde et donc pour les artistes qui «produisent» de l’art. Comment faire pour continuer sans accumuler, produire toujours plus dans un monde qui déborde ? La matérialité de l’œuvre ne saurait être remise en cause mais les matériaux utilisés, la manière de les faire circuler. Il est nécessaire d’améliorer notre relation au monde dans une réflexion collective. Cette question de l’écologie se pose aussi par rapport à tout le système de l’art devenu absurde, car plus en adéquation avec les prises de conscience récentes. Quel est l’empreinte carbone des grands rendez-vous de l’art ? Quelle est leur nécessité ? Peut-on continuer à cautionner ça ? Les artistes peuvent-ils toujours en être les complices même si pas toujours très consentants ? La dimension écologique apparaît en filigrane dans mon travail. Dans le Wall painting que je viens de réaliser à Paris et que je devais réaliser au mois de mai au Musée du Sart Tilman à Liège par exemple, je reprends plusieurs arbres de ma série de dessins «Arbre généalogique». Au-delà des phobies et autres pathologies, le mélange incongru des différentes espèces questionne sur une impossible cohabitation qui pourtant devient une réalité dans divers endroits du monde.
BENOIT MERNIER
Interprétation par Benoît MERNIER d’une pièce de Heinrich Scheidemann, organiste allemand du XVIIe siècle, en poste pendant plus de 40 ans dans l’une des plus prestigieuses églises de Hambourg (jusqu’au moment où … une épidémie de peste mit malheureusement fin à sa carrière). Vidéo enregistrée sur le vif afin de continuer à faire vivre le lieu magnifique et l’orgue si inspirant de l’église du Sablon à Bruxelles.
Benoit MERNIER est heureux de vous présenter cette oeuvre et vous souhaite bonne découverte !
J…;;;;iii
…
LE CLIN D’OEIL DE JEAN MORETTE
J’AI EU LA CHANCE DE VOIR « L’OBJET INVISIBLE » DE GIACOMETTI.
YVES KLEIN AURAIT-IL PEINT LA MER ROUGE EN BLEU ?
EN ENTRANT DANS UN MUSÉE, UN PEINTRE EST DEVENU FURIEUX EN VOYANT SON MONOCHROME ACCROCHÉ À L’ENVERS.
UN PEINTRE LOCAL AVAIT BEAUCOUP DE SUCCÈS. IL EST DEVENU PLASTICIEN.
…
GUY DUCATÉ – JEAN MERGEAI
Le tableau de Guy DUCATÉ, « Notre illustre passé industriel », date de 2019. L’extrait de Jean MERGEAI est extrait de Gaume, publié chez Legrain en 1988.
… en 1764 on dénombre, dans le Luxembourg, 43 fourneaux, 44 forges, 8 fenderies, 18 platineries (…). Cette industrie donne du travail, non seulement aux ouvriers qu’elle occupe directement, mais aussi à de nombreux bûcherons, à des charbonniers qui traitent le bois abattu par ces derniers, à des voituriers…
… vers 1890, un renouveau spectaculaire de l’industrie sidérurgique se produisit dans le bassin de la Chiers, notamment grâce à la mise en évidence des qualités de la minette.
La puissante usine d’Athus fut contrainte de fermer ses portes en 1977.
A l’hôtel de ville de Virton, exposition de Blandy Mathieu, Louis-Alphonse Lecomte et Jean Morette intitulée « Terre d’Artistes », du 5 au 20 mars à l’hôtel de ville de Virton. Des sculptures d’Albert Gatez sont également présentées. Vernissage le vendredi 4 mars à 19h. Terre d’Artistes
Sur la photo on peut reconnaître L. Lecomte, B. Matthieu et J. Morette.
Exposition de Gauthier Louppe « De l’arbre au violon. Le travail du luthier » au Clémarais à Aubange du 4 au 25 mars. Vernissage le vendredi 4 mars à 18.30h, avec visite commentée et concert de violoncelle.
Exposition de Jacques V. Lemaire au Palais Place Léopold à Arlon, du 11 mars au 10 avril, vernissage avec présentation de Pierre-Alain Gillet le jeudi 10 mars à 19h.
Signalons également l’exposition « 1 province, 44 communes » qui a eu lieu au Palais abbatial de Saint-Hubert, du 23 janvier au 14 février. Cette exposition, en l’honneur du gouverneur Bernard Caprasse, a proposé la découverte de l’ensemble du territoire de la province de Luxembourg au fil d’oeuvres d’art et de photographies représentant chacune des 44 communes. La commune de Paliseul était représentée par la tapisserie « Ardennais et Bretons » conçue par Huguette Liégeois.
Ardennais et Bretons, tapisserie d’Huguette Liégeois